GlobulX : la santé au coeur de la vie

68% : c’est le pourcentage d’enfants français possédant des lunettes de soleil contre 84% des adultes. Un chiffre préoccupant révélé par le dernier baromètre de la santé visuelle de l’Association Nationale pour l’Amélioration de la Vue (ASNAV). Ce résultat traduit un manque de vigilance de la part des parents, quand on sait la fragilité des yeux des enfants.

En France, trop d’enfants sont encore victimes de violences physiques, sexuelles ou psychologiques. C’est pourquoi les associations La Voix de l’Enfant, la Fondation pour l’Enfance et l’Enfant Bleu-Enfance Maltraitée ont décidé de lancer une campagne commune de sensibilisation et de mobilisation du grand public sur ce sujet. Une campagne soutenue par Claude Greff, secrétaire d’Etat chargée de la famille. Le but ?

L'Afssaps (1) vient de ré-évaluer le bénéfice-risque des médicaments à base de métoclopramide, tels que le Primpéran®, utilisé contre les nausées et les vomissements chez l'adulte et l'enfant. Elle déconseille désormais son usage chez les moins de 18 ans. Déjà contre-indiqué chez le nouveau-né, ce médicament qui agit sur la motricité de l'intestin, peut entraîner des troubles neurologiques  sérieux : spasmes du visage, mouvement anormaux des yeux, de la tête et du cou, difficulté d'élocution ou torticolis.

 De plus en plus résistante aux traitements à l'isionazide et à la rifampicine, la tuberculose gagne du terrain, notamment en Europe. Très préoccupé par cette recrudescence, l'OMS a lancé un plan sur 4 ans, qui vise à éviter 263 000 cas de tuberculose résistante, et empêcher 120 000 décès. Les zones européennes les plus touchés ? L'Europe de l'Est et l'ex union soviétique. La France reste relativement épargnée, avec 5 276 cas déclarés en 2009.

 Les patients, qui présentent tous des diarrhées sanglantes, semblent avoir été contaminés après un séjour en Allemagne. Dans ce pays, la situation est préoccupante, et les autorités signalent chaque jour de nouveaux cas d'infection : 300 personnes souffriraient de complications et 10 patients seraient décédés des suites de l'infection. Rappelons que cette bactérie ne se transmet pas d'hommes à hommes mais par l'alimentation.

Ce que l'on sait moins, c'est que les parabens sont utilisés depuis plus d'un siècle par l'industrie pharmaceutique... Si la proposition de loi est adoptée, il faudra alors exclure tous les parabens des médicaments commercialisés en France ! Ainsi, 400 médicaments seraient concernés par cette mesure. Une étude de toxicologie, menée par l'AFFSSaps et 6 laboratoires, est actuellement en cours pour déterminer le degré de toxicologie. Les résultats sont attendus en novembre 2011.

(source : lemonde.fr

Lors de ces assises, le ministre  a révélé une série  d'outils destinés à lutter contre ce fléau, dont un guide - réalisé par des pédopsychiatres - pour toutes les équipes éducatives. Une campagne d'information sur Internet et un numéro d'appel pour les victimes vont également être mis en place dans les mois à venir.

Les médicaments concernés ? Ceux qui comportent une vignette bleue sur leur emballage. Parmi eux : l'Advil, le Spasfon, le Ketum (tendinites superficielles) ou encore l'anti-inflammatoire Voltarène. En effet, le Haute autorité de santé (Has) a jugé que leur intérêt thérapeutique, ou service médical rendu, restait modéré. Les autres taux de remboursement restent inchangés (100 %, 65 % et 15 %). La liste complète des médicaments à vignette bleue  a été publiée dans les JO du 6 avril.

Organisée par le Syndicat National des Dermatologues et Vénéréologues, cette opération de santé publique est parrainée par le ministère du Travail, de l’Emploi et de la Santé et bénéficie du soutien de l’Institut National du Cancer (INCa). Les cancers cutanés sont en constante progression. Chaque année, on recense 4 à 5000 nouveaux cas.

Régulièrement mises à jour et traduites pour certaines en français, ces questions font le point sur les dangers des rayonnements, les effets aigus de l’exposition au rayonnement, les mesures de santé publique  importante à prendre…

http://www.who.int/hac/crises/jpn/faqs/fr/index.html